Les ogres de Barback

28 ANS !

28 ans ! C’est bien plus que  l’âge qu’avaient Alice, Mathilde, Sam ou Fred Burguière quand ils sont devenus Ogres en 1994. Presque le double pour les jumelles, âgées de 15 ans à l’époque…

28 ans d’une histoire foncièrement singulière et profondément marquée du sceau de la liberté, à tous niveaux. Une histoire si dense en projets et riches en expériences variées qu’on ne peut ici qu’en exposer les grandes lignes.

28 ans à défendre, sans aucune concession à « l’air du temps », leur conception de la chanson française : décloisonnée et ouverte sur le monde, qu’elle se fasse « classique » ou métissée, acoustique ou électrique, clin d’œil aux glorieux anciens ou directement en prise avec les sonorités du nouveau millénaire, poétique ou survoltée, amoureuse ou contestataire, pour les petits ou pour les grands ou pour les deux à la fois… Et l’écriture, entre réalisme et poésie du quotidien, porte la marque des préoccupations citoyennes de gens impliqués et responsables. Sans jamais se permettre de donner des leçons.

28 ans ! C’est bien plus que  l’âge qu’avaient Alice, Mathilde, Sam ou Fred Burguière quand ils sont devenus Ogres en 1994. Presque le double pour les jumelles, âgées de 15 ans à l’époque…

28 ans d’une histoire foncièrement singulière et profondément marquée du sceau de la liberté, à tous niveaux. Une histoire si dense en projets et riches en expériences variées qu’on ne peut ici qu’en exposer les grandes lignes.

28 ans à défendre, sans aucune concession à « l’air du temps », leur conception de la chanson française : décloisonnée et ouverte sur le monde, qu’elle se fasse « classique » ou métissée, acoustique ou électrique, clin d’œil aux glorieux anciens ou directement en prise avec les sonorités du nouveau millénaire, poétique ou survoltée, amoureuse ou contestataire, pour les petits ou pour les grands ou pour les deux à la fois… Et l’écriture, entre réalisme et poésie du quotidien, porte la marque des préoccupations citoyennes de gens impliqués et responsables. Sans jamais se permettre de donner des leçons.

28 ans passés sur leur terrain de jeu favori, celui où l’on s’expose, où l’on partage, où l’on échange, celui où, en tant qu’artistes, ils sont nés et où ils existent pleinement : la scène. C’est sur la route en jouant, tout le temps, partout et sous de multiples formes [près de deux mille concerts recensés…] que les Ogres ont rencontré, fidélisé et élargi ce public auquel ils n’ont de cesse de marquer leur profond respect. Notamment en variant, régulièrement, les propositions artistiques qu’ils lui font. Cette étonnante aptitude des Ogres à se réinventer sans jamais se perdre, outre qu’elle évite que la lassitude ne trouve le moindre espace où s’installer d’un côté comme de l’autre, nourrit l’inaltérable plaisir qu’ils prennent et qui se communique ainsi, tout naturellement, aux gens. Alors, même si leur production discographique est prolifique [vingt deux références, tous supports confondus !], osons l’affirmer : leur métier, c’est la scène.

28 ans à développer incessamment de nouveaux et atypiques projets, dont la rencontre semble être le maître-mot. Pour n’en citer que quelques-uns : des tournées françaises et européennes sous leurs propres chapiteaux, des livres-disques pour enfants - certifiés disques d’or - sur lesquels collaborent près de vingt groupes ou artistes, un album hommage à Pierre Perret pour lequel ils ont fondé une Tribu d’une trentaine d’artistes encore différents, de multiples spectacles singuliers accueillant invités en tout genre, des aventures communes de plusieurs saisons avec Les Hurlements d’Léo, La Fanfare du Belgistan, Eyo’nlé [collectif béninois qui les a accompagnés sur toute la tournée des 20 ans], ou encore, tout récemment, Cyrille Brotto et Guillaume Lopez, duo de musique traditionnelle occitane… Le processus est immuable : la rencontre se fait – généralement fortuite – et du plaisir pris dans l’échange, musical et humain, naît l’envie, et de l’envie le projet. Pour enrichir la palette déjà large de leur instrumentarium, pour insuffler une énergie différente, pour apprendre de l’Autre. Et, surtout, pour partager, encore et toujours.

28 ans, enfin, qui ont conforté ce qui n’était, au départ, qu’une intuition : oui, il est possible d’inscrire son projet artistique dans la durée en suivant sa propre route. En effet, rapidement, leur nécessité viscérale d'indépendance et de totale liberté leur a imposé de larguer les amarres d'un cheminement traditionnel dans lequel ils ne se retrouvaient pas. Ils ont successivement structuré l'organisation de leurs tournées, constitué une équipe dont les piliers sont là depuis le siècle dernier, se sont lancés dans l'excitante mais délicate aventure de la création d'un label, Irfan, pour produire leurs disques, ont constitué un dense réseau de distribution pour ceux-ci, puis pris en main la gestion de leurs éditions et de leur promotion. Les Ogres ont ainsi toutes leurs cartes en main. Et – c’est peut-être là la plus puissante de leurs singularités – leur histoire s’est imposée comme un parfait modèle alternatif de développement de carrière.

28 ans, et vient l’heure d’un tournant historique dans l’aventure du groupe. Puisque le seul  individu qui pouvait être appelé un jour à devenir le 5ème Ogre à part entière vient de les rejoindre : Léo Burguière, leur petit frère, cinquième et dernier enfant de la fratrie, leur cadet d’une quinzaine d’années !

28 ans, et maintenant ? Et bien… c’est reparti ! Pour 28 ans de mieux ?

28 ans passés sur leur terrain de jeu favori, celui où l’on s’expose, où l’on partage, où l’on échange, celui où, en tant qu’artistes, ils sont nés et où ils existent pleinement : la scène. C’est sur la route en jouant, tout le temps, partout et sous de multiples formes [près de deux mille concerts recensés…] que les Ogres ont rencontré, fidélisé et élargi ce public auquel ils n’ont de cesse de marquer leur profond respect. Notamment en variant, régulièrement, les propositions artistiques qu’ils lui font. Cette étonnante aptitude des Ogres à se réinventer sans jamais se perdre, outre qu’elle évite que la lassitude ne trouve le moindre espace où s’installer d’un côté comme de l’autre, nourrit l’inaltérable plaisir qu’ils prennent et qui se communique ainsi, tout naturellement, aux gens. Alors, même si leur production discographique est prolifique [vingt deux références, tous supports confondus !], osons l’affirmer : leur métier, c’est la scène.

28 ans à développer incessamment de nouveaux et atypiques projets, dont la rencontre semble être le maître-mot. Pour n’en citer que quelques-uns : des tournées françaises et européennes sous leurs propres chapiteaux, des livres-disques pour enfants - certifiés disques d’or - sur lesquels collaborent près de vingt groupes ou artistes, un album hommage à Pierre Perret pour lequel ils ont fondé une Tribu d’une trentaine d’artistes encore différents, de multiples spectacles singuliers accueillant invités en tout genre, des aventures communes de plusieurs saisons avec Les Hurlements d’Léo, La Fanfare du Belgistan, Eyo’nlé [collectif béninois qui les a accompagnés sur toute la tournée des 20 ans], ou encore, tout récemment, Cyrille Brotto et Guillaume Lopez, duo de musique traditionnelle occitane… Le processus est immuable : la rencontre se fait – généralement fortuite – et du plaisir pris dans l’échange, musical et humain, naît l’envie, et de l’envie le projet. Pour enrichir la palette déjà large de leur instrumentarium, pour insuffler une énergie différente, pour apprendre de l’Autre. Et, surtout, pour partager, encore et toujours.

28 ans, enfin, qui ont conforté ce qui n’était, au départ, qu’une intuition : oui, il est possible d’inscrire son projet artistique dans la durée en suivant sa propre route. En effet, rapidement, leur nécessité viscérale d'indépendance et de totale liberté leur a imposé de larguer les amarres d'un cheminement traditionnel dans lequel ils ne se retrouvaient pas. Ils ont successivement structuré l'organisation de leurs tournées, constitué une équipe dont les piliers sont là depuis le siècle dernier, se sont lancés dans l'excitante mais délicate aventure de la création d'un label, Irfan, pour produire leurs disques, ont constitué un dense réseau de distribution pour ceux-ci, puis pris en main la gestion de leurs éditions et de leur promotion. Les Ogres ont ainsi toutes leurs cartes en main. Et – c’est peut-être là la plus puissante de leurs singularités – leur histoire s’est imposée comme un parfait modèle alternatif de développement de carrière.

28 ans, et vient l’heure d’un tournant historique dans l’aventure du groupe. Puisque le seul  individu qui pouvait être appelé un jour à devenir le 5ème Ogre à part entière vient de les rejoindre : Léo Burguière, leur petit frère, cinquième et dernier enfant de la fratrie, leur cadet d’une quinzaine d’années !

28 ans, et maintenant ? Et bien… c’est reparti ! Pour 28 ans de mieux ?

Pitt Ocha

et le vélo à propulsion phonique

Pitt Ocha est un personnage inventé par les Ogres de Barback, avec la publication, dès 2003, de leur premier disque à destination du jeune public.
Enfant de la balle, Pitt Ocha a ce don merveilleux de jongler avec les sons. Sous son chapiteau, il les lance, les dompte, en fait des musiques, des chansons. Éternel voyageur, il balade, au fil des contes, les auditrices et auditeurs au sein de différentes cultures, les fait voyager au cœur d’une diversité musicale riche et rafraichissante, leur présentant chants, langues ou instruments de multiples horizons. Symbole de l’ouverture à l’Autre et au monde, il véhicule, sans en faire un étendard, les vertus de tolérance, de fraternité et de partage.

Ce 4ème opus compte 21 chansons et presque autant d’invités [Charlélie Couture, Francis Cabrel, Aldebert, Juliette, Eskelina, Maria Mazzotta, Orquesta Silbando, Ma Petite, René et Oriane Lacaille…]. Toujours dans cet esprit d’ouverture au monde et aux autres cultures, il propose une forme de balade musicale qui oscille entre chanson française, folk et musiques du monde. À l’exception d’une reprise d’Anne Sylvestre, l’ensemble des compositions est signé des Ogres;

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